Au centre de la sculpture, liée à elle par de nombreux fils fins, à peine visibles, la danseuse évolue lentement, en constante relation avec chaque élément, manipulant, elle sera manipulée, en parfaite symbiose.
Comme si seule « la créature » percevait le monde « ouvert » et « un ».
Elle a en elle la force élémentaire, obscure et profonde de la vie et l’exaltation qu’elle procure.