Oeuvre scénique de Dietlind Bertelsmann
– la genèse du temps –
– un fleuve sur lequel dérive toute chose –
– un son infini qui enfle et décroît sans cesse –
Ce 4e projet du cycle treibgut est une réflexion sur le temps et sur la mort. Interaction entre une danseuse, un comédien, quatre musiciens et une sculpture mobile.
Equilibre ou vibration entre l’éclatement de « la chose » (sculpture mobile) et la condensation du vécu dans l’homme (comédien) vers le « tout », l’ « unité » d’avant la mort.
Pouvoir « naître » et être dans la mort –